L’après-Daech, entre géopolitique et mystique:
colloque tenu à Paris le 5 déc. 17 (AED)
Le 17 octobre 2017, l’alliance anti-État islamique annonce la prise « totale » de Raqqa en Syrie, bastion des djihadistes depuis 2014.
Le 3 novembre, l’armée syrienne confirme avoir repris la ville de Deir Ez-Zor à l’État islamique.
Le 21 novembre, le président iranien Hassan Rohani proclame « la fin de l’État islamique».
Ces déclarations signifient-elles la fin du Califat ou la disparition définitive de Daech ?
Quels sont les retentissements sur les autres groupes affiliés, au Moyen-Orient et dans le monde ?
Comment l’islam est-il impacté par ces groupes extrémistes ?
Pour répondre à ces questions, l’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) a organisé le colloque:
L’après-Daech, entre géopolitique et mystique
Les Pères de l’Église dans le chaos oriental
« Les attentats récurrents de l’État islamique et la mutation en cours de ce groupe djihadiste nous pressent d’approfondir notre réflexion sur l’avenir du Moyen-Orient et sur les conséquences que cela aura pour nous. Au-delà d’un point de situation, ce colloque a pour ambition d’identifier quelques pistes de progression pour le dialogue entre chrétiens et musulmans et pour la paix dans cette région.» Marc Fromager. (Communiqué du presse du 27/11/17).
La page Facebook d’AEDenFrance annonce que les Actes du colloque seront publiés et disponibles à l’AED. Quelques citations déjà postées:
« La prière, seule solution pour restaurer l’homme intérieur » Aminata Alenskaia citant Mar Joseph Hazzaya, d’Irak, contemporain des Pères de l’Église
« Malgré leur petit nombre, les Chrétiens peuvent jouer un rôle important pour reconstruire le tissu de la société irakienne! » Père Ameer Jaje, irakien
« On n’en a pas fini avec l’EI. Il est passé dans la clandestinité. Des réformes sont nécessaires pour éviter son retour. » Myriam Benraad.