Les 21 et 22 novembre prochains, l’Arabie saoudite présidera le G20. Ne laissons pas les intérêts financiers primer sur les droits humains !
L’Arabie saoudite dépense des millions pour redorer son image, notamment en communicant sur les récentes réformes en faveur des droits des femmes dans le Royaume. En réalité les militantes saoudiennes qui ont tant œuvré pour ces réformes sont harcelées, en exil ou tout simplement en prison. C’est le cas de Samar Badawi, Loujain al-Hathloul, Nassima al-Sada. Emprisonnées depuis 2 ans et demi, elles sont exposées à la torture, aux violences sexuelles et à d’autres formes de mauvais traitements.
M. Macron déclarait il y a peu que la France devait porter sa voix « féministe et humaniste » sur la scène internationale. Demandez-lui de passer de la parole aux actes lors du G20 !