Témoignages

 

Cetta association qui est gérée par la soeur Suzanne Ouedraogo à Bam au Burkina est très utile

et existe depuis de nombreuses années.

Elle continue d'agir en particulier pour le bien des enfants

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AIDES 2019-2020

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Ils sont heureux et prêt à jouer au foot avec les maillots de Chaponost

 

 

Voici le compte rendu de l’année 2019-2020

 

J’ai pu faire parvenir à Jeanne la somme de 2100 euros (1.365.000 f cfa)

pour les scolarités

 

 

bam2   LAURE : 150000 f (scolarité)

   11.000 f ( 1 sac de riz)

   En euros 248

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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GLORIA
 : 100.000 f (scolarité)
60000 f (livret d’épargne)

11000 f (sac de riz)

AUBAINE : 100000 f (scolarité)

60000 f (livret d’épargne)

11000 f (sac de riz)

263 euros chacun

 

 











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YANIS
60.000 f ( livret d’épargne)
92 euros

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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STEPHANIE :
30.000 f
(scolarité participation au master 2 )

462 euros

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ECOLE sainte Monique de Komboinse

SALAMATA 70 ;000 f + 2500 f (scolarité)

ALIMATA 70.000 f + 2500 f (scolarité)

AGUIRATOU 70.000 f+ 2500 f (scolarité)

Fournitures pour les trois 8.700 f

2 Sacs de riz 22.000 f

 

 

MIKAEL Samne 22.000 f (participation à la scolarité)

Total pour l’école 382 euros

 

 

ECOLE DE SANTE

BIBATA :  J’ai envoyé un virement de 400.000 f à l’école pour j’espère sa dernière année 615 euros

UNIVERSITE

ARMANT est rentrée en 1er année de médecine nous avons donné une participation de 100000 f 154 euros

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J’ai dédommagé Jeanne pour le dérangement 30000 f 46 euros et pour l’essence 25000f 39 euros

Il lui reste 78.000 f en cas d’urgence, 120 euros.

J’ai eu des nouvelles pour le moment les résultats sont satisfaisants

BAM l’association (WEND BENEDO)

Je vous envoie en pièces jointes les reçus de l’association Wend benedo.Vous avez les détails de l’utilisation des fonds que vous nous avez envoyés.

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Forum de Bamako – Kamissa Camara : « La transformation numérique n’est pas un choix »

| Par - Envoyée spéciale à Bamako
Kamissa Camara, ministre malienne de l'Economie numérique et de la Prospective, le 8 novembre 2018 à Paris.

Les outils numériques peuvent être mis au service de la lutte contre la corruption de manière « simple et efficace ». C’est la conviction de Kamissa Camara, ministre malienne de l’Économie numérique, rencontrée par Jeune Afrique en marge du Forum de Bamako.

« Quelle Afrique à l’horizon 2040 ? ». Diplomates, chefs d’entreprises, représentants d’organisations internationales et responsables politiques se sont donné rendez-vous dans la capitale malienne pour tenter de répondre à cette question, lors du Forum de Bamako, qui se clôt ce samedi.

Organisé par Abdoullah Coulibaly – qui a également piloté le sommet Afrique-France en 2017 à Bamako – ce Forum est devenu en 20 ans un rendez-vous incontournable, aussi bien pour les investisseurs que pour les intellectuels de tous horizons.

Si les participants ont échangé sur les questions d’investissements, d’infrastructures ou encore de décentralisation, cette année, le Forum s’est en particulier penché sur l’apport des outils numériques pour la bonne gouvernance, sans pourtant oublié la crise sécuritaire qui frappe le Sahel. Et le Mali en particulier. « Nous sommes sensibles que vous soyez venus à Bamako, car venir dans notre pays aujourd’hui martyrisé et victime de l’indicible est devenu un acte de foi », a même lancé le président Ibrahim Boubacar Keïta, dans son discours d’ouverture, saluant la « pertinence » du forum en ces temps difficiles.

Présente au Forum, Kamissa Camara, ministre malienne de l’Économie numérique et de la prospective depuis mai 2019, après avoir été aux Affaires étrangères, revient pour Jeune Afrique sur le rôle que peut, ou que doit, jouer le numérique dans le développement.

Jeune Afrique : Votre ministère a organisé vendredi un « hackaton » sur le thème : « Quels outils numériques pour une administration malienne performante à l’horizon 2040 ». En quoi le numérique peut-il être utile, concrètement, pour lutter contre la corruption ?

Kamissa Camara : Cela peut se faire de manière très simple et rapide. Un exemple : en 2018, l’Agence des nouvelles technologies de l’information et de la communication a développé un logiciel de passation de marchés. Les entreprises qui veulent obtenir un marché soumissionnent via ce système, et c’est le logiciel qui fait la sélection de la meilleure offre, à la fois sur le plan technique et financier.

C’est un moyen évident de lutte contre la corruption qui peut intervenir dans les passations de marché. La meilleure preuve de son efficacité, d’ailleurs, c’est la réticence de certains à l’utiliser. Parce que cela semble être un frein à leurs intérêts…

Un autre exemple est le logiciel qui a été développé par le ministère de la Fonction publique pour recenser tous les agents de l’État. Il a permis de remettre entièrement à jour le registre de la fonction publique. C’est vraiment vers cela que nous voulons aller : mettre les outils numériques au service d’une meilleure administration.

Présenter le numérique comme une opportunité pour le Mali, ou même le continent, de combler son retard ne relève-t-il pas de la déclaration d’intention utopique ?

Non, ce n’est pas une utopie. D’ailleurs, la transformation numérique n’est pas un choix. Nous y allons, inexorablement. Mais, surtout, il faut que l’on s’approprie ces technologies, pour palier d’éventuels handicaps.

C’est ce que font, par exemple les gens qui ne savent ni lire ni écrire et qui, pourtant, utilisent l’application WhatsApp en envoyant des messages vocaux.

Dans cette perspective, n’est-il pas regrettable que le coût des télécommunications sur le continent, et en particulier au Mali, compte parmi les plus élevés au monde ?

C’est exact. Les coûts des télécommunications en Afrique, surtout subsaharienne, sont les plus élevés. Les opérateurs de téléphonie mobile mettent en avant le fait que les infrastructures de télécommunication coûtent très cher à installer et à entretenir, en particulier dans les pays enclavés, comme c’est le cas du Mali. C’est un élément d’explication.

Les coûts des télécommunications en Afrique, surtout subsaharienne, sont les plus élevés

Nous avons récemment fait une étude des différents marchés en Afrique de l’Ouest, qui montre qu’effectivement, dans les pays côtiers, les coûts sont moindre que dans les pays enclavés comme le Mali, le Tchad et le Niger.

Où en est aujourd’hui l’attribution de la licence à un quatrième opérateur de téléphonie mobile au Mali ? On parle beaucoup de la société algérienne Mobilis…

Je sais que c’est une question qui a fait couler beaucoup d’encre, et qui a, aussi, donné lieu à beaucoup de rumeurs. Pour le moment, aucune décision n’a été prise.

Qui sont les autres opérateurs en course pour la licence ?

C’est une information confidentielle. L’analyse des offres techniques s’est terminée en juin 2018. Nous avons récemment procédé à l’analyse des offres financières, en octobre 2019. Une commission indépendante a été mise en place pour analyser les différentes offres techniques et financières. Les conclusions ont été transmises aux autorités.

Cette ouverture du marché à un quatrième opérateur intervient alors même que les motifs d’insatisfactions se multiplient à l’égard des trois opérateurs déjà présents, qui font régulièrement l’objet d’amendes…

Nous avons souvent des problèmes de qualité du réseau, dont se charge l’Autorité de régulation. Le coût des communications est aussi une plainte récurrente. Sur ce plan, le seul moyen que l’État a à sa disposition, est d’amplifier la concurrence. Pour réduire les tarifs, il nous faut encourager les opérateurs à venir sur le même terrain.

Mais le marché malien est-il assez grand pour plus de trois opérateurs ?

Le nombre d’utilisateurs augmente tous les jours au Mali. Ce n’est pas un problème. Le problème qui pourrait se poser est plutôt d’ordre sécuritaire, et porte sur l’accès aux zones reculées. Cela pourrait, effectivement, avoir un impact sur la manière dont les opérateurs travaillent au Mali.

Les différents opérateurs sont en lien direct avec le ministère de la Sécurité, qui leur apporte son assistance lorsqu’il y a des risques. Mais nous sommes bien conscients que cela peut avoir un impact sur le coût des télécommunications.

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24 fevrier 2020

 
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Journaliste à la une

Par notre rÉdacteur en chef
FranÇois-xavier maigre

Jean Vanier, de la lumière à l'abîme

Sidération, colère et tristesse… Les résultats de l'enquête indépendante initiée par l'Arche ne manqueront pas d'ébranler le monde catholique et, plus largement, tous ceux qui se reconnaissaient dans le message de fraternité de Jean Vanier, son fondateur. Les faits sont accablants mais il faut les regarder en face. La part obscure de Jean Vanier éclate au grand jour, défigurant l'icône à laquelle nous avions fini par nous habituer.

Côté pile : un personnage solaire, laïc inclassable, proche des plus faibles et des oubliés, apôtre de la vulnérabilité, un conférencier hors pair dont la sagesse inspirait les foules. Côté face : un être clivé, drapé dans ses mensonges et ses non-dits, qui a abusé sexuellement d'au moins six femmes entre 1970 et 2005.

Le choc de ces révélations est double : contrairement à ce qu'il a toujours clamé, Jean Vanier a su dès les années 1950 que son père spirituel, le dominicain Thomas Philippe, avait été condamné par l'Église en raison de ses pratiques sexuelles, et de la mystique déviante qui les sous-tendait. Pire : il y a lui-même pris part, et perpétué, jusqu'à une période récente, ces relations d'emprise avec des femmes auxquelles il imposait des relations intimes, sous couvert de justifications mystiques.

Il faut saluer le courage des victimes qui osent rompre le silence. Leur souffrance, si longtemps contenue, est à la mesure de l'aura qui protégeait le Canadien. Peu d'entre nous sortiront indemnes de ces révélations. Moi le premier. Pendant les cinq dernières années de sa vie, j'ai souvent côtoyé Jean Vanier avec lequel j'ai écrit un livre. Sans percevoir les ténèbres de cet homme. J'ai aimé le visage qu'il a bien voulu me présenter. Celui que je découvre aujourd'hui me glace le sang. Il faudra sans doute de longues années pour comprendre.

Que dire ? " L'affaire Vanier " impose, me semble-t-il, une profonde introspection collective. Elle interroge crûment notre besoin de héros, de figures de proue. La Bible ne nous a-t-elle pas assez mis en garde contre les idoles ? Journalistes, croyants, personnalités de tous bords, nous avons contribué à faire de Jean Vanier ce qu'il était : un modèle éblouissant, et par là même intouchable.

Mais voilà. Grâce à lui, et tous ceux qui lui ont emboîté le pas, nos sociétés ont appris à mieux respecter les personnes handicapées. Son héritage, sur ce point, est indéniable. C'est avec ce paradoxe infini que l'Arche – dont la démarche de vérité mérite d'être saluée – va désormais devoir vivre. Comme nous tous.

Éditorial

L'Arche révèle la face sombre de Jean Vanier

Une enquête publiée samedi 22 février par l'Arche, à laquelle Le Pèlerin a eu accès, révèle que son fondateur, Jean Vanier, a agressé sexuellement plusieurs femmes jusqu'en 2005. Quels sont les faits reprochés à Jean Vanier ? Comment l'Arche va-t-elle faire face ?
Dans l'Eglise et bien au-delà, le choc est immense.

Éclairage

L'hebdomadaire de l'aumônerie des jeunes de la paroisse de Dyou, n°54 du 24/02/2020 : Rendez-vous du Père KIYE M.Vincent avec les jeunes.

Kiye 2020
« Esprit qui rend muet et sourd, je te l’ordonne, sors de cet enfant et n’y rentre plus jamais ! » (Mc 9, 14-29)

Chers frères et soeurs en Christ,

Recevez nos Salutations depuis la paroisse de Dyou au Mali

Quel lien pouvons-nous établir entre ces deux lectures de ce premier jour de la 7 ème semaine des Temps ordinaire qui, comme nous le savons, nous introduit déjà au temps de Carême ?

En effet, lorsque nous revenons à l’évangile, il n’est pas possible de ne pas nous émerveiller devant la foi de cet homme qui vient plaider pour la guérison de son fils épileptique : « Maitre, je t’ai amené mon fils, il est possédé par un esprit qui le rend muet… ». Le manque de foi des disciples est dénoncé tandis qu’est en relief, la foi du père de l’enfant : « Je crois ! viens au secours de mon manque de foi ! » Au finsih, Jésus expulse cet esprit impur en ces termes : « Esprit qui rend muet et sourd, je te l’ordonne, sors de cet enfant et n’y rentre plus jamais ! »

Oui chers frères et sœurs, nous sommes nous aussi souvent habités par ce même esprit qui rend muet et sourd chaque fois que nous sommes dominés par la jalousie et l’esprit des rivalités dont parle Saint Jacques dans la première lecture.

·         L’esprit de jalousie et de rivalité nous rends muets dans la mesure où nous devenons incapables de parler positivement de l’autre, incapable de reconnaitre les mérites de notre confrère ou de notre consœur. Là, nous sommes nous aussi dominés par cet esprit impur qui rend muet.

·         L’esprit de jalousie et des rivalités rend sourd dans ce sens que nous devenons hostiles à tout éloge de l’autre. Lorsque nous entendons les autre parler positivement de notre frère ou de notre sœur, nous cherchons à dire le contraire dans l’intention de le noyer, de la salir, de le détruire. Là, nous sommes nous aussi, dominés par cet esprit impur qui rend sourd.

Personne n’a volé ses potentialités ni ses talents. C’est une grâce de Dieu en vue de l’édification de son Eglise. Qu’avons-nous et que gagnons-nous à être jaloux de nos frères et sœurs ? A rivaliser nos confrères ou nos consœurs voire nos voisins ? Ils ont l’or ! Nous, nous avons le diamant ! Il a le don de chanter ! Moi, j’ai le don de danser ! Tel doit être le réalisme de notre vie telle que le Créateur de tout bien et de tous les univers l’a ordonné. Lorsque que nous comprendrons cette exigence de l’ordre du monde, nous serons équilibrés et vivrons en paix. Que nous habite-t-il lorsque nous nous retrouvons en face de ceux qui sont plus talentueux, plus doués, plus engagés que nous ?

Dominés par la jalousie et par les rivalités dont parle Saint Jacques dans la première lecture de ce lundi, un quelconque esprit impur nous empare, nous secoue également et nous irrite contre notre prochain. Tout devient infernal. La vie à côté de l’autre, de notre confrère ou de notre consœur, de notre voisin devient un calvaire. Simplement parce que nous n’arrivons pas à nous accepter nous-mêmes : nous nous voyons dans l’autre, dans les talents, dans les qualités ou dans les mérites. Du coup, c’est la guerre qui éclate. C’est la médisance, des coups-bas qui s’en suivent. Et Saint Jacque dira : la jalousie et les rivalités mènent au désordre et à toutes sortes d’actions malfaisantes. Nous mobilisons toutes nos énergies à chercher comment nous débarrasser de lui ou d'elle, comment le discréditer ou le salir. C'est la racine du mal en nous. Nous avons là, un besoin urgent de recourir nous aussi, à Jésus pour qu’il vienne expulser en nous cet esprit impur qui nous rend hostiles, muets et sourds devant les qualités de notre prochain.

Pour ce faire, demandons la sagesse qui vient d’en haut, elle qui est pure puis pacifique, bienveillante et conciliante, pleine de miséricorde et qui féconde en bons fruits sans parti pris et sans hypocrisie. Amen.

Le Seigneur soit avec vous !

 ✍🏾 Père KIYE M. Vincent, Mafr

Aumônier paroissial des jeunes

Paroisse de Dyou/Diocèse de Sikasso-Mali

E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Whatsapp : (+223)72 65 74 82

L'hebdomadaire de l'aumônerie des jeunes de la paroisse de Dyou-Kadiolo, n°55 du 02/03/ 2020: Rendez-vous du Père UFOYURU Bosco avec les jeunes.
Dans la prière de "Notre Père", Jésus Christ et Maître, demanda à ses disciples de ne pas imiter les païns: "Dans vos prières, ne rabâchez pas comme les païns: ils s'imaginent qu'en parlant beaucoup ils se feront mieux écouter." (Mt 6:7).
Le nouvel enseignement que Jésus Christ et Maître donna à ses disciples est celui d'une prière sincère, personnelle et surtout, une prière en communion avec Dieu, Notre Père.
Bibliquement, de cet nouvel enseignement du Maître, et de la communion avec Dieu, découleraient des demandes particulières qu'un croyant, qu'un chrétien ré-adresse au Père Céleste.
C'est ainsi que une prière sincère et brève d'un chrétien contiendrait ces 7 demandes particulières:
1. "Que ton nom soit sanctifié,
2. Que ton règne vienne,
3. Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel,
4. Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien,
5. Remets-nous nos dettes comme nous-mêmes avons remis à nos débiteurs,
6. Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
7. Mais délivre-nous du Mauvais." (Mt 6:9-13)
Ces sept particularités du nouvel enseignement du Jésus Christ et Maître, font partie intégrale de trois piliers de Carême: Jeûne/oeuvres de charité, mais surtout la Prière et le Pardon.
Quelques mots sur notre Prière quotidienne: Notre prière quotidienne est la nourriture spirituelle de notre foi en Dieu le Père. 'Elle est l'élévation de nos âmes vers Dieu ou la demande faite à Dieu des biens conformes à sa volonté. Elle est un don de Dieu qui vient à la rencontre de l'homme 
Notre prière quotidienne est aussi une rencontre personnelle, un dialogue, une écoute attentive et l'acceptation de la volonté de Dieu vers chacun de ses enfants. 
Enfin, la prière chrétienne, est une prière qui s'adresse au Nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit.
Que Dieu nous accorde la grâce de Le prier comme Jésus Christ nous a appris et surtout d'accepter sa volonté dans notre vie quotidienne et non d'imposer à Dieu ce qui nous plairaît, de multiplier des paroles comme des hypocrites, mais d'avoir une écoute attentive de la Voix de Dieu!
Le Seigneur soit avec vous!
✍🏾 Père Bosco UFOYURU, Mafr
Vicaire à la paroisse de Dyou/Mali
Whatsapp : +223 72 65 74 82

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Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)