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Dans la plupart des pays d'Europe, le passage à l'heure d'été se fait dans la nuit du dernier dimanche du mois de mars, à savoir pour cette année dans la nuit du 28 au 29 mars 2015. En Amérique du Nord, ce passage est déjà réalisé depuis le deuxième dimanche de mars.

Coucher de soleil Cela veut dire que concrètement
les habitants de l'Europe "perdent" une heure de sommeil.

 

Et qu'ils doivent avancer leurs montres d'une heure.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Faire attention aux heures auxquelles nous souhaitons avoir des échanges téléphoniques entre deux pays dont un seulement pratique ce changement horaire.

La Province d'Afrique de l'Ouest a des liens très étroits avec la Province du Maghreb, et nous publions souvent sur ce site des nouvelles venant du Nord de l'Afrique. Ci-dessous quelques messages reçus de la part du vicaire général du diocèse de Tunis, suite à l'attentat du Musée national du Bardo à Tunis.

- lettre de l'évêque de Tunis au chef de l'Etat
- lettre du secrétaire d'Etat à l'évêque de Tunis
- annonce de la messe du 21 mars


Par ailleurs voir ci-après quelques extraits pris sur le site de l'ARCRE :

La Tunisie “fait peur aux djihadistes”

4596680_6_41a7_des-tunisiens-se-sont-rassembles-mercredi-18_37ea7e79ff60a2aeb1981e8871907d27Ce jeudi après-midi, de nombreux Tunisiens ont défilé devant le Bardo pour rejeter l’islamisme radical. Ce vendredi, plusieurs journaux rappellent que la Tunisie prouve que la démocratie est compatible avec la culture musulmane.

Chose inadmissible pour les jihadistes.

La Tunisie fait peur aux jihadistes“, voilà ce que tient à rappeler le quotidien français Le Monde, ce vendredi après l’attentat au musée du Bardo. Survenu mercredi à Tunis, il a coûté la vie à vingt touristes, dont une compatriote Belge. Dans leur analyse, les journalistes du Monde expliquent que la Tunisie représente une menace pour les islamistes radicaux. “Elle est le contre-modèle à abattre: elle prouve que la démocratie est parfaitement compatible avec un pays de culture islamique. Inadmissible pour la nébuleuse islamique“, analyse le quotidien du soir. Une campagne publicitaire visant à relancer le tourisme tunisien a d’ailleurs dû heurter les jihadistes dans leurs convictions fondamentalistes. Le slogan de la publicité? “La Tunisie, libre de tout vivre”. “L’audace de cette affirmation terrorise les terroristes…“, estime un éditorialiste français. De son côté, Le Figaro affirme que “l’Etat islamique a voulu punir des ‘croisés mécréants’”. Son envoyé spécial, Thierry Porte, souligne que “la classe politique et la société civile tunisiennes faisaient bloc en défilant, jeudi en fin d’après-midi devant le Bardo, pour exprimer leur rejet de l’islamisme radical“. “Qu’importent ces noms, l’âge, l’origine, et même les lieux où leur destin a basculé, qu’importe s’ils caricaturaient, visitaient un musée (…), qu’importe si ceux-là priaient et quel Dieu, ou s’ils ne priaient pas : tous ont pour toujours un même visage : ils forment une poignante fraternité, celle des victimes“, égrène Jean-Claude Souléry dans un autre quotidien français. “Ce sont les mêmes victimes d’un même terrorisme, disons l’islamo-fascisme, puisqu’au moins cette expression a le mérite de nous dire l’évidence“, ajoute-t-il. (Source: RTL/20.03.15)

Lire plus:

 

Questions après l´attentat en Tunisie : le «printemps arabe» survivra-t-il à l’hiver djihadiste ?

2560948-attentat-en-tunisie-daesh-revendique-les-noms-des-terroristes-devoilesAprès l’attentat de Tunis, la spécialiste de l’islamisme Anne-Clémentine Larroque analyse l’échec des printemps arabes. Selon elle, la seule manière de lutter efficacement contre le cancer djihadiste est de laisser une place à l’islamisme politique dans le jeu démocratique. Propos recueillis par Eugénie Bastié:

“Il existe deux principaux groupes djihadistes en Tunisie. D’abord Ansar-al-Charia, un groupe salafiste djihadiste lié à al-Qaida, né pendant le printemps arabe en Tunisie et aujourd’hui en perte de vitesse. La principale organisation terroriste est désormais la phalange Okba Ibn Nafaa, qui a prêté allégeance à l’État islamique.

“Par cet attentat, ils ont d’abord pour stratégie de délégitimer toute tentative de mise en place d’un islamisme démocratique. Attention à ne pas jouer leur jeu: ils n’attendent qu’une chose, que le parti Ennahda soit disqualifié du jeu politique. Notons qu’il s’agit du premier attentat contre des touristes depuis le printemps arabe de 2011. L’impact le plus fort de cet attentat sera sur le tourisme, et donc le cœur de l’économie tunisienne, dont les faiblesses structurelles avaient conduit au soulèvement populaire de 2011 . On voit bien là l’objectif des djihadistes: plonger le pays dans le chaos économique à la faveur duquel ils espèrent prendre le pouvoir. Par la terreur, les djihadistes veulent imposer un hiver qui n’est pas encore là.”(…)

“D’un point de vue occidental, on a l’impression d’assister à un processus d’unification de l’internationale djihadiste sous la bannière de l’État islamique, et le triomphe du panislamisme sur le panarabisme d’antan. En réalité, le monde arabo-musulman, loin de s’unifier, se fracture, se fragmente et n’a jamais été aussi divisé (on parle en arabe de «fitna»= le désordre) . Le vrai défi se situe à l’intérieur même de l’islamisme: entre les islamistes politiques et les djihadistes, entre le modèle politique chiite et le modèle politique sunnite, et parfois même entre les sunnites (les Kurdes contre Daech). La vraie question de l’avenir, c’est de savoir comment les islamistes vont réussir à contenir les djihadistes.”

 Lire entretien complet :

 

Voir aussi les liens suivants au sujet de la messe célébrée :


http://www.businessnews.com.tn/une-messe-a-tunis-en-hommage-aux-victimes-de-lattaque-du-bardo,520,54526,3

 

La dernière lettre du diocèse de Laghouat Ghardaia, de mars 2015, vient de paraître.

Le Service de Documentation et d'Etudes sur la Mission fête ses 50 ans : les cinquante ans du décret "Ad Gentes" du Concile Vatican II, sur l'activité missionnaire de l'Eglise, publié le 7 décembre 1965.

Un article du Père André Schaminée, Secrétaire général des Missionnaires d'Afrique.

Les maisons de formation de quatrième étape des Missionnaires d'Afrique sont au nombre de cinq.
Une à Abidjan, une au Kenya, une à Kinshasa, une a Jérusalem et une en Afrique du Sud.

Amorain Wayikpo, étudiant togolais, a envoyé une photo de l'ensemble de la communauté.

Dans cette communauté se trouvent six étudiants de la Province d'Afrique de l'Ouest :
Du Burkina : Justin Ramde, Théophile Sam, Albert Kondemodre
Du Togo : JeanBaptiste Todjoro, Kwami Adama, et Amorain Wayikpo (merci pour la photo)

La communauté de Merrivale