Témoignages

 

Michael Lonsdale : « Prier, c’est s’émerveiller »

Sur scène comme au cinéma, l'immense acteur du Nom de la rose et Des hommes et des dieux est habité par l'art et sa foi chrétienne.

Par Rédaction

Mis à jour le 23 septembre 2020 à 10:48

Publié le 17 octobre 2018 à 10:17


Mise à jour du 21 septembre 2020. 
Michael Lonsdale était venu au monde un dimanche de Pentecôte, en 1931. Comme le signe d’une foi brûlante. Et il aura laissé briller les derniers feux de l’été avant de s’éteindre discrètement, ce 21 septembre, à l’âge de 89 ans. De ce géant – par son impressionnante silhouette voûtée comme par la fécondité de l’œuvre qu’il laisse : films, pièces de théâtre, écrits –, on retiendra surtout l’humilité. Celle qu’il sut si bien faire transparaître dans le rôle de frère Luc, le moine-médecin des Hommes et des dieux. Profondément croyant, l’acteur, né d’une mère française et d’un père britannique, laissait volontiers affleurer une foi qu’il puisait dans son admiration pour la petite Thérèse de Lisieux et au contact du Renouveau charismatique, dont il appréciait la grâce. Au cinéma, il aura joué pour les plus grands : Truffaut, Duras, Orson Welles, Buñuel… Sur les planches, la liste est tout aussi impressionnante : Ionesco, Beckett, Pirandello… Michael Lonsdale ou le feu sacré. Pierre-Olivier Boiton

 

Michael Lonsdale est mort, aujourd'hui, à l'âge de 89 ans. Sur scène comme au cinéma, l'immense acteur de "Des hommes et…

Posted by Le Pèlerin on Monday, September 21, 2020

La dernière fois que vous avez ri ?
Il y a une heure, dans la rue : la joie de deux jeunes filles m’a envahi.

Ce qui vous fait rire ?
J’adore l’absurde et les situations invraisemblables dans la vraie vie, comme si l’on était dans une pièce d’Eugène Ionesco.

La dernière fois que vous avez pleuré ?
À la mort d’une amie proche. De façon générale, je pleure devant la détresse humaine, lorsque des êtres n’ont plus d’espoir.

La dernière fois que vous avez demandé pardon ?
Ce matin, dans ma prière.

Une bonne raison de vous lever le matin ?
Mon petit déjeuner.

Ce qui vous rend meilleur ?
Quand je prie pour que Dieu arrange des situations difficiles autour de moi.

Ce qui vous met en colère ?
Les souffrances inutiles des enfants victimes des conflits des adultes.

Ce qui vous fait peur ?
La méchanceté, quand on essaie d’abuser de moi.

Votre remède contre la déprime ?
La musique de Bach.

Un geste d’amour ?
Embrasser quelqu’un pour me réconcilier.

Quelle faute pardonnez-vous facilement ?
Les occasions manquées d’aider quelqu’un.

Ce que vous aimeriez changer en vous ?
Le manque de confiance.

Si vous deviez exercer un autre métier ?
Pianiste.

Quel est votre talent caché ?
Le don de surprendre les autres.

Que trouve-t-on sur votre table de nuit ?
Un joyeux désordre ! La dernière arrivée : une marionnette du pape François.

La musique qui vous fait vibrer ?
Les concertos de Beethoven joués par la pianiste Maria Joao Pires.

Votre devise ?
« Essaie de faire mieux. »

Quel est votre objet chéri ?
Une crécelle ayant appartenu à frère Luc.

Votre héros du quotidien ?
Sœur Emmanuelle.

Que reste-t-il en vous de l’enfant que vous étiez ?
La tendresse.

Si vous aviez une baguette magique, quel rêve réaliseriez-vous ?
Tout recommencer à zéro.

Vous avez un rendez-vous de cinq minutes avec le pape François. Quel sujet abordez-vous ?
Je l’ai eu, ce rendez-vous. Nous avons partagé un merveilleux silence, de cœur à cœur.

Pour vous, Jésus, c’est…
L’essentiel dans la vie : l’amour et le pardon.

Votre personnage préféré de la Bible ?
La Samaritaine.

Vous rencontrez Dieu en vrai. Qu’aimeriez-vous qu’il vous dise ?
« Salut, mon pote ! »

« Prier » rime avec…
S’émerveiller.

Propos recueillis par : Corinne Renou-Nativel

 
 
Kiye2019

L'hebdomadaire de la paroisse de Dyou, n°80 du 21 septembre 2020: Rendez-vous avec les amis de Dieu
« Suis-moi. L’homme se leva et le suivit » (Mt 9, 9-13)
Première lecture : Ephesiens 4, 1-13
Évangile : Matthieu 9, 9-13
Bien-aimés dans le Seigneur, Recevez nos salutations depuis la paroisse de Dyou dans le diocèse de Sikasso au Mali
Frères et sœurs en Christ, aujourd'hui lundi 21 septembre, l'église nous propose de célébrer la fête de Saint Matthieu, apôtre et évangéliste. Une figure familière parmi les Apôtres. Sa vocation constitue un des épisodes les plus populaires de la vie de Jésus, en raison de la personnalité de l'appelé: un collecteur d'impôts et de la révélation de l'amour sauveur qui couronne le récit. Nous y découvrons le visage miséricordieux d'un Dieu qui a besoin de tout le monde pour l'annonce du Royaume des cieux. Un Dieu qui appelle même des publicains dans sa mission. Ceci est un grand enseignement pour notre vie de foi. Et toi, pourquoi veux-tu à tout prix écarter l'autre? 
Frères et sœurs en Christ, cette fête de l'évangeliste Matthieu est une occasion pour nous de nous poser certaines questions notamment celle de savoir comment Jésus décide-t-il volontier d'appeler un publicain à sa suite? Et qu'est-ce qu'il veut nous signifier par cet appel du publicain?
Oui bien-aimés dans le Seigneur, pour bien comprendre le sens que cette célébration peut imprimer à nos consciences, revenons sur la première lecture de ce jour.  
En effet, dans la première lecture tirée de l'épître aux Ephèsiens, Saint Paul nous exhorte à comprendre la diversité des dons qu'il y a dans l'église, tous au service du même corps, l'église, corps du Christ. La diversité des ministères dira-t-il, au premier rang desquels se situe le ministère apostolique est au service de l'unité. Pour cela, ajoute-t-il, nous devons nous
supporter les uns les autres avec amour. Pour qui te prends-tu, toi qui regardes les autres comme des secondes créatures? Comme des persona non grata? 
Pour authentifier cette diversité en vue de la construction de l'unique corps du Christ qu'est l'église, Jésus appelle le publicain Matthieu dans l'évangile, afin de canaliser son habileté du  collecteur des impôts au service du peuple de Dieu. Il deviendra désormais, collecteur des âmes, collecteur d'hommes, du peuple de Dieu. Ici donc, par sa prescience, Dieu se sert de la fragilité de l'homme pour en faire canal de grâce.
Oui chers frères et sœurs en Christ, la grâce ne supprime pas la nature, dit-on, mais Dieu peut se servir de nos potentialités, de notre caractère et/ou tempérament, de nos fragilités d'homme, bref de ce que nous sommes pour en faire une offrande agréable à lui. Il ne nous dénature pas mais donne un nouveau sens, une nouvelle orientation à ce que nous sommes, à ce que nous faisons pour sa plus grande gloire. C'est ce qu'il fera de Marie Madeleine, centrant son amour non pas sur les hommes mais sur Lui. Mais pour que cette transformation s'opère dans notre vie, pour que Dieu donne ce nouveau sens, cette nouvelle orientation dans notre vie, nous devons écouter sa parole lorsqu'il nous appelle et nous disposer à le suivre comme Matthieu. L'évangile nous dit qu'aussitôt Matthieu le suivit.
Aujourd'hui bien-aimé, le Seigneur t'appelle toi aussi tel que tu es. Écoute-le  t'appeler du fond de ton cœur. Il veut convertir tes fragilités en canal de grâces pour sa gloire. Tu es colérique, tu es ceci ou cela, ne te culpabilise pas. Abandonne-toi à Dieu. Il orientera ta colère, ta haine, ta jalousie non pas contre les hommes mais contre les péchés.
Les gens t'ont stigmatisé, étiquetté, ils te qualifient de ceci ou cela, Dieu a besoin de toi tel que tu es ;  il a besoin de tes fragilités, de tes dons pour en faire des opportunités de grâce. "Je suis venu appelé non pas les justes, mais les pêcheurs" dira Jésus. Fais-lui confiance et accepte de le suivre. Oui, à chacun d’entre nous dit Saint Paul, la grâce a été donnée selon la mesure du don fait par le Christ. Pour cela, nous devons nous supporter les uns les autres avec amour. Ne nous rejetons pas mutuellement. Car Dieu a besoin des qualités de tout un chacun pour l'annonce de son Évangile.
Oui chers frères et sœurs en Christ, il ne s'agit pas ici de nous faire une fausse consolation pour nos péchés, pour nos fragilités. Mais de les soumettre au Christ, de nous abandonner tout entier au Christ qui oriente selon son bon vouloir, tout notre être au service de sa plus grande gloire. Demandons la grâce de l'écoute de l'appel qu'il nous lance, principalement l'appel à la conversion afin qu'il donne un nouveau sens à notre être tout entier. Amen.
Le Seigneur soit avec vous !
✍🏽 Père KIYE M. Vincent, Mafr
Paroisse de Dyou dans le diocèse de Sikasso au Mali
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Whatsapp : (+223)72657482

"En vérité je vous le dis, cette pauvre veuve a mis plus que tout le monde. Elle a donné tout ce qu'elle avait pour vivre." (Lc 21, 1-4)
 
 
L'hebdomadaire de la paroisse de Dyou n° 81 du lundi 28 septembre 2020: Avec Job, déjoueons  les pièges de l'Adversaire.
« En tout cela, Job ne commit pas de péché.
Il n’adressa à Dieu aucune parole déplacée.» (Jb 1, 6-22)
Bien-aimés dans le Seigneur, recevez nos salutations fraternelles depuis la paroisse de Dyou au Mali.
La figure de Job qui nous est proposée pour notre Méditation de ce jour est très parlant que nous nous posons cette question : Et toi, et moi, que ferions-nous à la place de Job? 
Oui chers frères et sœurs en Christ, n'ayons pas peur de la souffrance, ai-je l'habitude de le dire. Notre endurance et notre persévérance dans la souffrance peuvent déjouer les pièges de l'ennemi et le repousser désormais loin de nous. Par contre, y céder ouvrirait des nombreuses portes encore à celle-ci. Car, lorsque nous tenons bon dans la souffrance, sans nier ni mumurmer contre Dieu comme Job, le commanditaire de la souffrance, c'est-a- l'adversaire et ses hommes nous désapprouvent et nous jugent indignes de leur compagnie. Le contraire leur donne espoir d'un lendemain radieux dans le but de nous enrôler en son pouvoir.
Bien-aimés dans le Seigneur, ce récit de l'épreuve de Job n'est pas nouveau dans nos oreilles. Nous en avons certes, nous aussi, fait l'expérience quelque peu semblable, à quelques exceptions près. Si nous n'avons pas perdu troupeaux et enfants, certainement, à un moment donné de notre vie, nous nous sommes vus arrachés un être cher  de notre affection. Nous avons vu nos projets de vie, tomber dans l'eau,  nos rêves s'envoler à cause certainement, du regard accusateur de l'Adversaire : « Est-ce pour rien que Job craint Dieu ? N’as-tu pas élevé une clôture pour le protéger, lui, sa maison et tout ce qu’il possède ?
Tu as béni son travail,
et ses troupeaux se multiplient dans le pays. Mais étends seulement la main, et touche à tout ce qu’il possède : ... il te maudira en face !" Voilà ce qui arrive souvent dans notre vie. Soyons vigilants et réfléchis.
 L'Adversaire prend souvent le visage d'un confrère, d'une consoeur, d'un collègue de service, d'un ami (e) proche, etc, pour nous détruire et créer un conflit dans notre vie intérieure. Par la, nous égarer et nous éloigner de Dieu. Soyons vigilants aux pièges de ce dernier.
On a porté un faux témoignage contre toi qui t'a coûté la révocation de ton poste, qui t'a coûté un discrédit, un renvoi de telle ou telle structure; on t'a accusé faussement dans l'intention de te casser à un poste prometteur, dans le but de salire ta réputation ou ton dossier afin que les supérieurs te désapprouvent, ne comptent plus sur toi ou ne te promettent plus  pour les études; patience et acceptes cela comme réalité existentielle et ne te révolte surtout pas contre Dieu. Par ta persévérance tu seras jugé(e) juste. Peut-être ce poste auquel tu étais promu, ces études que tu devrais faire, ce salaire que tu aurais t'ouvrirait grandement les portes de l'enfer ! Malheur ou bonheur, qui le sait? Même pas tes supérieurs (es).
Et pour ne pas te perdre, la prescience de Dieu s'est moquée de l'intrigue de l'Adversaire qui a cru réussir son coup contre toi. 
Et toi X, et toi Y, que gagnes-tu dans tes intrigues ?  Pourquoi acceptes-tu que l'Adversaire se serve de toi pour nuire à ton prochain?
Bien-aimés dans le Seigneur, quoi qu'il arrive dans notre vie, peu importe ce qu'on dira de nous, soyons des hommes et des femmes d'une religiosité particulière. Des hommes et des femmes qui tiennent bon dans la souffrance et se remettent toujours et remettent leur cause dans les mains du Seigneur, le juge par excellence et le Maître des temps et de l'espace. Il y aura un soir, il y aura un matin. Et ce sera le troisième jour. De cette façon, l'Adversaire se décourage et s'éloigne de nous pour nous laisser nous mouvoir libre, sous la mouvance de Dieu et de ses anges. Quant à Job, en tout cela, il ne commit pas de péché. Il n’adressa à Dieu aucune parole déplacée." Il se reconnaît petit devant Dieu et s'abandonne à lui. C'est cette attitude que Jésus recommande à ses disciples, leur demandant d'être comme un petit qui s'abandonne entièrement dans les mains de son Père pour sa sécurité.
Qu'il en soit ainsi pour chacun de nous aujourd'hui et tous les jours de notre vie, Amen.
Le Seigneur soit avec vous !
✍🏽 Père KIYE M. Vincent, Missionnaire d'Afrique
Paroisse de Dyou dans le diocèse de Sikasso au Mali
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Whatsapp : (+223)72 65 74 82


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"En vérité je vous le dis, cette pauvre veuve a mis plus que tout le monde. Elle a donné tout ce qu'elle avait pour vivre." (Lc 21, 1-4)
 
Si cet email ne s'affiche pas correctement, cliquez ici.


Tainika Somerville est aide-soignante depuis 20 ans. Chaque jour, elle se rendait au Bridgeview Medical Centre, dans l’Illinois, aux Etats-Unis, pour prendre soin des résidents.

À l’arrivée de la crise du Covid-19, elle s’est retrouvée en première ligne face au virus. Le 2 avril, elle a été licenciée, après avoir dénoncé le manque de matériel de protection qui mettait sa vie et celle de ses patients en danger.

Demain, le 22 septembre, une audience d’arbitrage décidera si Tainika peut récupérer son travail. Il est urgent de la soutenir !

JE SOUTIENS TAINIKA
Le cas de Tainika est loin d’être isolé. De nombreux membres du personnel de santé ont dénoncé leurs conditions de travail dangereuses et le manque de matériel de protection. Des inquiétudes légitimes : plus de 7000 soignants sont décédés du Covid-19 dans le monde.

Le personnel soignant, en première ligne du virus, doit être protégé et non pas menacé. Soyons solidaires avec les professionnels de santé !

Je vous remercie par avance pour votre soutien,
 Camille Dechambre
Chargée de campagne
"Protection des populations"
pour Amnesty International France 

Robert Nicolas, R.I.P.

Société des Missionnaires d’Afrique

Le Père Emmanuel Lengaigne, Délégué Provincial du secteur de France,
vous fait part du retour au Seigneur du Père

Robert Nicolas

le dimanche 20 septembre 2020 à Pau-Billère (France)
à l’âge de 91 ans dont 67 ans de vie missionnaire
au Mali et en France.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

 

Jalons de vie du Père Robert Nicolas

Né à Paris XVI
le 26/11/1928
Année spirituelle Serment missionnaire Ordination sacerdotale
dans le diocèse de Bayonne 25/09/1949 29/06/1953 18/04/1954
 Nationalité : Français  Maison-Carrée (Algérie) Thibar (Tunisie) Carthage (Tunisie)
9/10/1954 Vicaire Kakoulou, Diocèse Kayes Mali
21/5/1956 Sagabari Mali
21/9/1963 Grande Retraite Villa Cavalletti Italia
29/1/1969 Vicaire Kassama, Diocèse Kayes Mali
1/1/1982 Vicaire Sagabari, Diocèse Kayes Mali
30/4/2000 Aumônier Religieuses Sagabari,D.Kayes Mali
1/12/2002 Vicaire Sagabari Mali
1/6/2010 Nommé PEP (PE 07/10) France
1/7/2010 Accueil Paris,Friant France
26/9/2013 Résidence Billère,Villa P.B. France
1/1/2014 Résidence Billère,M. Lavigerie France
20/9/2020 Retour auprès du Père Billère,M. Lavigerie France

Sorkine1
Michel Zanotti-Sorkine

Michel-Marie Zanotti-Sorkine est un prêtre catholique atypique ! Il porte la soutane pour être reconnaissable, il enregistre des CD, et il attire de larges publics et très divers.  Ses livres, vendus à des dizaines de milliers d'exemplaires, séduisent par ce qu'il confie de son parcours et les solutions parfois iconoclastes qu'il propose.

Michel-Marie Zanotti-Sorkine, né à Nice en 1959, tient son double nom d'un père corse et d'une mère russe. Avant de devenir prêtre, il a été pianiste de variétés et auteur-compositeur-interprète pendant près de dix ans. Il entre alors dans les ordres, dominicain puis franciscain, suit des études à Rome ; c'est pendant ces années qu'il rédige une émouvante prière pour les personnes atteintes par le sida, qui sera remarquée par Jean-Paul II et connaîtra une large diffusion. Il devient finalement prêtre à Marseille ; curé d'une paroisse sur la célèbre Canebière, il se fait connaître par son charisme qui attire de plus en plus de fidèles. En 2014, il rejoint le sanctuaire Notre-Dame du Laus, tout en menant une activité importante d'écrivain, de prédicateur et de conférencier. Il attache une énorme importance au contact humain et à la liturgie, il veille à être disponible pour chacun, y compris au café qu'il appelle son bureau. Dans ses livres ou lors de ses conférences qui peuvent rassembler des milliers de personnes, il secoue pas mal d'idées reçues et de procédures pour ramener ceux qui sont loin de Dieu et de l'Eglise. En plus d'une dizaines de livres, il a enregistré un CD avec le pianiste de Charles Trenet et le guitariste de Charles Aznavour. Mais lui ne vise qu'un seul but : attirer le plus possible d'hommes à Dieu.

(Pour retrouver tous ses ouvrages, cliquer sur le lien ci-desssous)

https://www.laprocure.com/biographies/Zanotti-Sorkine-Michel/0-141953.html

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Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)