Justice et Paix

" Je suis homme, l'injustice envers d'autres hommes révolte mon coeur. Je suis homme, l'oppression indigne ma nature. Je suis homme, les cruautés contre un si grand nombre de mes semblables ne m'inspirent que de l'horreur. Je suis homme et ce que je voudrais que l'on fit pour me rendre la liberté, l'honneur, les liens sacrés de la famille, je veux le faire pour rendre aux fils de ces peuples l'honneur, la liberté, la dignité. " (Cardinal Lavigerie, Conférence sur l'esclavage africain, Rome, église du Gesù)

 

NOS ENGAGEMENTS POUR LA JUSTICE T LA PAIX
S'EXPRIMENT DE DIFFÉRENTES MANIÈRES :

En vivant proches des pauvres, partageant leur vie.
Dans les lieux de fractures sociales où la dignité n'est pas respectée.
Dans les communautés de base où chaque personne est responsable et travaille pour le bien commun.
Dans les forums internationaux pour que les décisions prises ne laissent personne en marge.

Dans cette rubrique, nous aborderons différents engagements des Missionnaires d'Afrique, en particulier notre présence auprès des enfants de la rue à Ouagadougou et la défense du monde paysan.

 

Inauguration du Centre Taab YîngaInauguration du centre d’accueil et de formation pour les jeunes en difficulté à Ouagadougou. Faire connaître le centre Taab Yînga est un appel à se rapprocher des enfants de la rue et à changer le regard qu'on porte sur eux...

Les conditions de vie des enfants des écoles coraniques de Bamako sont difficiles. Nous voyons beaucoup de mendiants dans les rues de la ville, surtout des garibouts. L’ONG Mali-Enjeu se préoccupe d’eux.

Devant tant de mendicité de la part des talibés (enfants qui fréquentent les écoles coraniques), nous avons posé quelques questions d'éclaircissement à M. Béchir Tall, professeur d’arabe au lycée de Bandiagara, membre du Cap de l’académie de Bandiagara et professeur de religion musulmane au collège privé de la paroisse de Bandiagara.

ImageDans le cadre de leur engagement pour Justice et Paix et Intégrité de la Création, les Missionnaires d’Afrique ont lancé un service d’édition en langues nationales du Burkina Faso, le SEDELAN.

Un nouveau centre pour les jeunes

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Depuis déjà un certain temps, notre association souhaitait avoir un centre qui lui appartienne, afin de ne plus avoir à payer chaque mois 65.000 francs CFA pour le mini centre de formation, et 70.000 pour le foyer.

Une proposition nous a été faite ...