Témoignages

 

Un article paru dans "Voix d'Afrique" cet article au sujet des Soeurs Missionnaires de Notre Dame d'Afrique et de leur chapitre général.

Le 25ème Chapitre Général des Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique, s’est tenu à Rome du 1er au 23 juillet 2017.

Les quarante participantes ont vécu ce temps fort, dans un climat de confiance et de grande ouverture.
Durant trois semaines, les capitulantes ont réfléchi aux défis lancés aujourd’hui par la mission, à la Congrégation, sur le thème « Porteuses d’espérance, à l’écoute de la voix de l’Esprit, avançons ensemble vers les périphéries ». (lire la suite)

Véronique Fayet: «Au Secours Catholique, nous sommes témoins de l’avènement du Royaume»

La rédaction d'Aleteia | 06 décembre 2017

veroniquefayet

Véronique Fayet, présidente du Secours catholique, le 9 mars 2016.

Alors que l’ONG a rendu le 6 novembre son rapport annuel qui souligne la persistance de la pauvreté en France et la persistance de préjugés solides, sa présidente témoigne pourtant de l’espérance intangible qui l’anime. Un appel saisissant à se « mettre debout » !

Aleteia : À l’origine de votre engagement, identifiez-vous un déclic en particulier ?

Véronique Fayet : Ce n’est pas un déclic mais une énorme étincelle ! Au milieu des années 60, alors que j’étais collégienne à Mulhouse, les Ursulines qui dirigeaient l’établissement avaient invité l’abbé Pierre, encore assez jeune à l’époque, pour témoigner devant les élèves. Je le vois encore sur l’estrade du grand gymnase. Tout le collège était réuni. Il nous a raconté l’histoire de son premier compagnon, cet homme qui voulait se suicider, qui s’était raté et à qui il avait dit : « Écoute, je ne peux pas faire grand-chose pour toi, en revanche, toi, tu peux m’aider. Tu m’as l’air bien costaud. J’ai besoin de toi ». Et là, j’ai reçu un coup de poignard en plein cœur. « J’ai besoin de toi ». Cette simple phrase. La seule qui mette les gens debout s’adressait aussi à moi . Mon cœur est resté longtemps « tout brûlant ».

Les valeurs familiales qui vous ont été transmises ont-elles aussi joué un rôle ?

J’ai eu la chance d’avoir une jeunesse préservée. Dans la famille, nous n’avions pas l’occasion de côtoyer des pauvres. En revanche, j’ai reçu de mes parents le sens du service, de l’engagement, du don. Mon père était un grand soldat. À 25 ans, en 1940, il est l’un de derniers à combattre les Allemands sur le Loire avec les Cadets de Saumur. Être debout. Résister à l’inacceptable. Les rares récits qu’il faisait de ses campagnes étaient marqués par ces principes que je me suis efforcée d’appliquer dans des circonstances évidemment différentes. Je soulignerais aussi les valeurs de simplicité dont je suis la dépositaire : mes parents étaient à l’aise et très simples avec les gens de tous les milieux. Nous n’avions pas l’idée que nous puissions appartenir à un monde à part.

Logiquement, c’est chez Emmaüs que vous faites vos premières armes…

En effet, avec mon fiancé, j’ai été chiffonnière d’Emmaüs le temps d’un été. Dans le sud de la France, nous ramassions chiffons et cartons. Des compagnons nous expliquaient le travail et je mesurais à nouveau la force de la phrase qui m’avait tant marquée adolescente : « J’ai besoin de toi ». On suivait l’abbé Pierre partout pour l’écouter. L’intuition d’Emmaüs était certes de soulager la misère à court terme, mais aussi, de manière aussi urgente, d’en détruire les causes. Je trouvais cette vision très stimulante et sans doute m’a-t-elle conduit à travailler sur l’économie de la pauvreté au cours de mes études. J’ai vite compris que de nombreuses causes de la pauvreté étaient à rechercher dans le dysfonctionnement du système économique.

Après deux années passées en Afghanistan, vous rejoignez ATD-Quart Monde. Une expérience décisive.

Outre la volonté de s’attaquer aux causes de la pauvreté que j’ai retrouvé chez ATD-Quart Monde, j’ai été très sensible au principe de l’« alliance » que portait le père Joseph Wresinski, le fondateur du mouvement. Pour détruire la pauvreté, pensait-il, on a besoin de tout le monde, chacun à sa place : travailleurs modestes, mères au foyer, magistrats, médecins, chefs d’entreprise…

Vous parlez parfois de « pauvreté immatérielle ». De quoi s’agit-il ?

De la pauvreté relationnelle. D’année en année, elle augmente comme l’indique notre dernier rapport statistique annuel. 60% des gens accueillis au Secours Catholique viennent pour parler, pour être écoutés sans être jugés, pour créer de la relation. En particulier des étrangers privés de toute ressource. La misère enferme. Les transports coûtent cher. Les préjugés font aussi de terribles dégâts. « Quand même, tu pourrais te bouger pour trouver un job » : ces phrases ou même ces regards qui enferment l’autre dans sa misère.

Et paradoxalement, on n’a jamais tant invoqué le « vivre-ensemble »…

On constater surtout une profonde méconnaissance de la pauvreté et de l’enfermement qu’elle génère. Cette dimension suppose d’aller chercher les personnes en grande précarité. C’est au cœur de notre démarche au Secours Catholique. J’en reviens à une intuition forte d’ATD Quart-Monde, résumée dans une image : tant qu’il manque ne serait-ce qu’une seule personne, la famille n’est pas au complet. Dans notre action, en permanence, il faut se poser cette question : « La famille est-elle au complet ? ». Au passage, dans l’Église aussi, il serait bon parfois de se poser cette question…

Quel est la spécificité du regard catholique sur les pauvres ?

Je suis très fière de l’adjectif « catholique », attaché au nom de notre mouvement. Étymologiquement, le mot catholique renvoie à l’universalité. Or la question de la pauvreté en France se joue aussi dans le monde. C’est pourquoi nous sommes très liés à nos partenaires des 165 Caritas du monde et à d’autres ONG. Le pillage de l’Amazonie, les paradis fiscaux ou les atteintes aux droits de l’homme ont des conséquences ici-même. « Tout est lié » comme le dit le pape François dans l’encyclique Laudato si’. Par ailleurs, nous sommes de plus en plus attachés à la dimension spirituelle de la personne. Le pape François, encore lui, nous a rappelé dans « La joie de l’évangile » que « la plus grande discrimination faite aux plus pauvres, c’est le manque d’attention spirituelle ». Il ne dit pas « une » discrimination, il dit « la plus grande ». Cela nous a réveillés !

Cela veut dire que la dimension spirituelle prévaut désormais dans votre action ?

On travaille beaucoup en effet sur cette dimension, à rebours d’une vision assez répandue dans de nombreuses ONG qui se réfèrent à la pyramide des besoins de Maslow dont les besoins matériels – boire, manger, se vêtir – forment le socle. L’étage intermédiaire est constitué des besoins sociaux. Et quand on satisfait ces premiers besoins, il reste le besoin spirituel tout en haut. Autant dire que l’on ne s’y intéresse jamais. Or il faut agir de manière très différente et répondre simultanément à tous les besoins, au risque sinon de déshumaniser la personne.

Comment agissez-vous concrètement pour cela ?

Je songe par exemple aux voyages de l’Espérance — à Lourdes, à Chartres, à Lisieux, et même à Jérusalem où nous avons une magnifique maison — où se rendent des bénévoles et des personnes en situation de très grande précarité, de toutes les religions. Des choses magnifiques se passent et les gens reviennent changés. Cette dimension spirituelle est transformante. Je songe à l’une de ces personnes, partie marcher vers Compostelle avec un groupe, émue aux larmes de voir son chien courir dans la campagne. Cette ouverture à la beauté devait lui redonner des bouffées de liberté. Mgr Georges Pontier m’avait dit, lors de mon élection, que le Secours Catholique était souvent le seul contact avec l’Église pour beaucoup de gens, qui ne connaissent pas l’Église ou qui ont été blessés ou déçu par l’Église. C’est dire notre responsabilité.

À l’entrée de votre bureau, on peut voir le baromètre du père Jean Rodhain, le fondateur du Secours Catholique. Il en avait brisé le cadran et figé l’aiguille sur « beau-fixe » avec un clou. Angélisme ou espérance ?

Nous sommes des optimistes invétérés. Au Secours Catholique, on voit tout ce qui bouge. C’est une grâce formidable. Ces gens qui se lèvent, ces bénévoles, ces salariés très engagés… Et surtout ces personnes en précarité qui se battent avec courage et gardent le sourire. En témoigne la joie profonde qui prédominait à Lourdes lors de la récente Université de la Solidarité et de la Diaconie alors que la moitié des 600 personnes présentes vivaient dans des conditions très difficiles. Ce sont les signes visibles du Royaume. Au Secours Catholique, nous sommes témoins de l’avènement du Royaume. Il est déjà là !

Des figures de saints guident-elles votre action ?

Avant tout, ces personnes qui vivent la pauvreté, qui font preuve d’un courage admirable, qui se tiennent debout. Ils me nourrissent. Le contact avec les personnes pauvres, disait le père Rodhain, « ouvre des brèches dans (nos) mesquines murailles ». C’est parfaitement vrai. Et puis il y a bien sûr les « grands » saints. Je songe à saint Laurent à qui l’Empereur avait réclamé le trésor de l’Église, et qui avait répondu à sa demande en convoquant tous les pauvres, les bras cassés, les estropiés, les boîteux, et les aveugles de Rome. Il y a aussi une petite sainte que j’aime beaucoup, sainte Joséphine Bakhita, née au Sud-Soudan. Esclave domestique, elle est devenue religieuse grâce à des personnes qui lui avaient tendu la main. C’est une figure importante au Secours Catholique où nous sommes très préoccupés par la traite des êtres humains. Je songe enfin et bien sûr à sainte Bernadette de Lourdes : c’est la sainte des pauvres qui sont en grande amitié avec elle.

Si vous deviez n’en retenir qu’un passage des Évangiles ?

Sans doute l’évangile du serviteur inutile, que j’ai beaucoup médité lorsque j’ai quitté mes fonctions politiques en 2014 et que je faisais le bilan du travail accompli. J’étais fière d’avoir réussi à faire bouger les lignes, mais ce texte m’a rappelé deux choses. Premièrement, que je n’avais fait que mon devoir puisque j’avais été élue pour cela. Certes, c’était bien, mais c’était ordinaire. Et deuxièmement, que l’on conserve à vie le tablier de service. Quelques semaines après, j’ai reçu un coup de téléphone pour rejoindre le Secours Catholique… Cet évangile procure beaucoup de sérénité et de liberté. Je suis là de passage. Je suis au service, puis ce sera quelqu’un d’autres. Et cela invite à faire confiance à l’Esprit saint. Catherine de Sienne dit : « Fais toi capacité, je me ferai torrent ». J’essaie de me faire capacité. Cela demande du travail. Et une fois que l’on s’est fait capacité avec sérieux, le reste appartient à Dieu.

Du travail, et de la prière aussi ?

Ah oui ! Toujours. En pointillés. Toujours à reconquérir, à regagner, mais c’est vital. La prière et les sacrements. Sinon, c’est le dessèchement rapide assuré.

Lire aussi : Le Secours catholique tord le cou aux préjugés sur la pauvreté

Ce prêtre du diocèse de Kaya avait envoyé des nouvelles au mois d'octobre

Bien chers tous,

Pour ceux qui ne le savaient pas je suis en France depuis le 31 août, dans le diocèse de Metz où je suis envoyé par mon évêque en mission pastorale dans le cadre de la collaboration entre Eglises.

J’ai commencé par observer un petit temps de silence d’une part, pour me reposer un peu des fatigues des passations de services et des déménagements ; d’autre part pour me concentrer sur le lancement de ma nouvelle mission. Cette petite coupure avait pour but aussi de m’aider à couper avec ce que je faisais et d’aider ceux avec qui j’avais collaborés à se tourner rapidement vers ceux qui assument désormais les différentes charges que j’avais … Je crois que c’est chose désormais faite… 

Autrement tout se passe bien depuis mon arrivé en France.  J’ai d’abord passé 10 jours à Metz pour faire les formalités relatives à mon séjour et pour permettre aussi à la paroisse qui m’accueille d’apprêter mon logement. Ça y est ! j’y suis installé depuis samedi 9 septembre et le travail a commencé sans attendre. J’ai le statut de prêtre coopérateur et j’habite seul dans le presbytère de Créhange à 5 km de mon curé qui lui est à Faulquemont. Nous nous occupons à deux d’un ensemble de regroupements de paroisses soient au total 22 clochés.

Nous sommes à 35 km de Metz dans une ancienne région minière devenue rurale. Les gens sont simples et accueillants… Nous allons de village en village pour dire la messe. En semaine chacun célèbre dans un des villages et le weekend chacun dit 3 messes (une samedi soir et 2 dimanche matin (9h30 et 11h00) mais chaque fois dans des villages différents.

Les laïcs s’occupent de l’aspect matériel et une grande partie de l’administration. Le travail est beaucoup plus relaxe qu’à Kaya mais pour ce premier mois, ça n’a pas été du repos à cause de l’installation et du lancement de l’année pastorale.

Pour l’installation il me fallait équiper et meubler mon appartement (3 chambres, salon, cuisine, bureau). Du coup ça fait beaucoup d’appareils nouveaux et il faut lire les notices pour savoir comment les faire fonctionner : lave-linge, chaudière, cuisinière, micro-onde, cafetière… imprimante, scanner, Livebox ... Même pour les produits alimentaires, il faut lire les notices pour savoir comment les préparer ou comment les conserver... En plus de cela, il faut faire le marché pour les condiments, faire sa cuisine, faire sa vaisselle, son ménage... Mine de rien ces petites choses auxquelles on n’est pas habitué à faire, même si elles ne fatiguent pas les méninges, nous prennent beaucoup de temps…

Je m’habitue tout doucement à cette nouvelle vie et me prépare pour affronter le froid qui s’installe à grands pas. Cette région a la réputation d’avoir des Hivers particulièrement rude.

Bien à vous !

Il nous adresse maintenant ses voeux de bonne année 2018

(lire la suite)

Le père Borrmans était membre de la communauté de Sainte  Foy lès Lyon depuis 2004

De la part du Provincial de France.

"Christ est ressuscité des morts, prémices de ceux qui sont morts". 1 Cor 15, 20



Le Père Provincial de France des Pères Blancs
vous fait part du retour au Seigneur du Père
The Provincial of the Missionaries of Africa of France
informs you of the return to the Lord of Father

Maurice Borrmans

du diocèse de Lille

décédé le 26 décembre 2017

à Bry-sur-Marne,

à l'âge de 92 ans


dont 69 ans de vie missionnaire essentiellement en Tunisie, Algérie, à Bahreïn, en Italie et en France.

 

He died on the 26th December, 2017, in Bry-sur-Marne, France,
at the age of 92 years of which 69 of missionary life in Tunisia, Algeria, Italia, Bahreïn
and in France

 

La messe des funérailles aura lieu
le mardi 2 janvier 2018 à 14 h 30,
en l'église paroissiale de Bry-sur-Marne
suivie de l’inhumation au cimetière de Bry.

 

* Communiqué de Mgr Jean-Marc Aveline, Évêque auxiliaire de Marseille
suite au décès du P. Maurice Borrmas.


* Texte trouvé dans le journal La Croix du 28 décembre 2017
au sujet de la disparition du P. Maurice Borrmans

 

Prions pour lui et sa famille, ainsi que ses proches et amis.

Patrick Bataille, M.Afr.

Voir aussi

Le P. Maurice Borrmans, M.Afr. (Père Blanc) Docteur Honoris Causa
de l'Université Pontificale Urbanienne Rome Italie 27 octobre 2015.

 

Décès du père Maurice Borrmans (22/10/1925-26/12/2017)

Maurice Borrmans

Beaucoup d’anciens étudiants se retrouveront dans ce témoignage de Michel Guillaud:
[…]La propagation rapide de cette nouvelle entre ses anciens étudiants me dit quelque chose de la marque qu’il a eu sur nous et sur des générations.
C’était sa rigueur, celle qu’il s’imposait à lui-même en travailleur acharné, et qu’il attendait de nous, dans l’étude attentive de la tradition de l’autre, de la foi et la tradition musulmane. C’était en même temps sa foi, et sa réflexion sur les interpellations venant de la rencontre. C’était aussi sa droiture. M’a marquée aussi sa fidélité, manifestée notamment dans la conduite de la revue Islamochristiana pendant des décennies, et ensuite par la manière dont il a rendu hommage dans ses années de « retraite » à quelques amis, grands témoins du dialogue islamo-chrétien, par des publications reprenant notamment des correspondances qu’il avait conservées : Mulla Zade et Jean-Mohamed Abdeljalil, Louis Gardet, Christian de Chergé, …
En pensant à lui ce soir me reviennent ces paroles de François à El-Azhar au Caire le 28 avril de cette année, reprises dans ses vœux à la curie le 21 décembre dernier [Lire la suite de « Maurice Borrmans, prof du moine de Tibhirine Christian de Chergé, est mort« , Église catholique d’Algérie, 28/12/17.

Un cheminement de dialogue (lire la suite)

* Trouvée sur KTO : Conférence du P. Maurice Borrmans :
Comment vivre la relation entre Chrétiens et Musulmans ? /

 


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Jalons de la vie du
Père Maurice Borrmans

Nat.: France
Diocèse d'origine
Lille
Naissance
Lille
22/10/1925
Année Spirituelle
Maison Carrée
24/12/1945
Serment
Thibar
29/06/1948
Prêtrise
Thibar
01/02/1949

01/06/1949 Nommé pour l'Afrique du Nord
01/10/1949 Etudes La Manouba Tunisie
27/06/1951 Etudes, AMINA Alger, Kasbah
01/08/1952 Jasmin Rue
14/06/1953 Professeur La Manouba
21/09/1963 Grande Retraite Villa Cavalletti Roma Italia
01/10/1964 IPEA déménage à Roma Italia
30/06/1981 Manamah Bahrein
01/02/1984 Professeur Roma, PISAI Italia
16/11/1990 Ordre National du Mérite, Fr.
01/02/1994 Nommé Peritus/Syn.Af
01/10/2004 Islam Lyon France
01/12/2004 Nommé Fr.(PE 10/04) France
26/12/2017 Retour au Seigneur à Bry-sur-Marne


"Il ne faut pas que vous vous attristiez comme les autres qui n'ont pas d'Espérance". Thess 4,13

Nous le recommandons instamment à votre prière.

La Société des Missions Africaines est une congrégation missionnaire fondée le 8 Décembre 1856 par Mgr de Marion Bresillac. La Société des missions africaines compte actuellement 901 membres et associés, prêtres et laïcs, présents au Bénin, en Côte d’Ivoire, en Egypte, au Ghana, au Libéria, au Maroc, au Nigeria, au Niger, en Centrafrique, au Togo, au Kenya, en Tanzanie, en République démocratique du Congo, en Zambie, et en Afrique du Sud. Ils sont également présents en Europe : France, Irlande, Angleterre, Pays-Bas, Italie, Pologne, Espagne. En Amérique : Canada, Etats-Unis, ainsi qu’en Asie : Inde et Philippines.

Les Missions Africaines de Lyon publient un bulletin trimestriel, et nous venons de recevoir le dernier numéro, qui date de septembre 2017

Pour découvrir ce qu'il contient, vous pouvvez cliquer sur le lien suivant

http://www.missions-africaines.net/wp-content/uploads/2017/10/Lappel-de-lAfrique-n%C2%B0-270-BD.pdf

Sous-catégories

Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)