Témoignages

 

Anvers, le 28 décembre 2018

 

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Chers Parents, chères Amies et chers Amis, chers Confrères,

Bonjour à vous toutes et à vous tous ! Je commence tout d’abord par vous souhaiter une sainte fête de Noël et une belle, bonne et heureuse nouvelle année 2019 ! Que le Seigneur Jésus, que nous avons accueilli parmi nous à Noël, nous comble de ses bienfaits tout au long de cette nouvelle année, qui débutera très bientôt ! Que nous le reconnaissions dans chaque être humain qui croise notre route ! Que les hommes et les femmes du monde entier s’entendent davantage, que partout dans le monde il y ait la paix, que dans ce monde d’aujourd’hui chacun et chacune trouve sa place, qui qu’il soit, d’où qu’il vienne ! Voilà quelques-uns de mes vœux les plus chers à la veille de cette nouvelle année que nous souhaitons bonne, heureuse et bienfaisante pour toutes et pour tous !

Comme vous avez pu le constater, cette fois-ci, je ne vous écris pas de Talo, au Togo, mais, bien d’Anvers, en Belgique. En effet, j’ai quitté définitivement mon  cher Togo le 1er mai de cette année, et depuis le 8 septembre, je me trouve dans la communauté des Missionnaires d’Afrique (Pères Blancs) à Anvers. La plupart parmi vous n’ont pas su que j’étais rentré, ni quand ni comment ni où je me trouve !! Je m’en excuse beaucoup et sincèrement auprès de chacune et chacun d’entre vous, car, contrairement à mes habitudes, je n’ai pas passé mon congé à vous visiter et à vous dire bonjour, ce que j’aime tant. Non, cette fois-ci, je me suis reposé et bien reposé avant de rejoindre mon nouveau poste, ma nouvelle Mission, à Anvers. A mon retour du Togo, j’étais très, très fatigué, j’étais K.O. Et donc cette fois-ci, je n’ai pas d’abord pensé à m’organiser pour vous rendre visite, mais, j’ai d’abord pensé à moi-même, à ma santé, et à mon bien-être physique. Veuillez, encore une fois, m’en excuser ! J’en ai mal moi-même, très mal même, de vous n’avoir pas rencontrés jusqu’à présent, mais, d’autre part, je me suis si bien reposé que je me sens en pleine forme aujourd’hui, et cela aussi est important. Ce qui me console, et cela peut aussi être une consolation pour vous, c’est que je me trouve maintenant définitivement en Belgique et que j’ai donc un long lapse de temps devant moi pour vous rendre visite, petit à petit. Des occasions se présenteront sûrement, sinon on les créera et/ou on les provoquera !!!

J’ai aussi la grande joie de pouvoir vous annoncer que tous les projets, que nous avions prévus au Togo, ont été réalisés, et cela grâce à votre collaboration et à votre générosité sans bornes : une école de six classes est là, avec une école maternelle, un bureau pour le Directeur, une salle de réunions pour les enseignants, et des toilettes. Et ici je tiens à remercier spécialement la Province du Limbourg, qui a si généreusement contribué à la réalisation de cet important projet. Nous avons aussi pu déménager d’une maison louée dans notre propre maison, qui est assez grande pour y accueillir aussi des confrères Togolais quand ils rentrent en congé chez eux : ils seront chez eux chez nous ! Et enfin, nous avons terminé de construire une nouvelle église, qui est aussi un Centre Polyvalent avec plusieurs grandes salles. J’ai eu l’immense joie d’y avoir pu présider l’Eucharistie pour la première fois, le jour de mes adieux à la Paroisse. Et tout cela, grâce à votre immense générosité, celle de personnes connues et inconnues, et aussi celle de mes propres confrères, qui ont considéré ce projet comme le leur, comme un nouveau projet de la Société des Missionnaires d’Afrique qu’il fallait soutenir. Merci beaucoup à vous toutes et à vous tous !!

 

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En attendant de vous rencontrer un jour, je vous envoie mes meilleures salutations et, encore une fois, mes meilleurs vœux pour une belle et heureuse année 2019 ! Avec toute mon amitié !

Theo

Sur le site du "Petit Echo" quelques articles qui nous décrivent commen cette célébration s'est déroulée (cliquer susr les liens ci-dessous)

- premier jour : https://mafrome.org/pelerinage-aux-sources-premier-jour/

- deuxième jour : https://mafrome.org/retour-aux-sources-deuxieme-jour/

- troisième jour : https://mafrome.org/pelerinage-aux-sources-troisieme-jour/

- quatrième et cinquième jour : https://mafrome.org/pelerinage-aux-sources-quatrieme-et-cinquieme-jour/

Une lettre que j'ai déjà envoyée à un certain nombre de personnes mais que je mets aussi sur le site. Je l'ai maintenant datée du 30 décembre...
 

Une lettre reçue de ce confrère Missionnaire d'Afrique Ghanéen en mission au Togo

 

(Lire la suite)

Après, les prix de L’Intégration Africaine de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Félix-Houphouët-Boigny du Conseil de l’Entente et Paul Robson glané lors du dernier Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) (en février 2017), le film a eu un grand succès auprès du public au Festival du Film d’Angoulème en juillet 2017. (Voir la petite video de TV5MONDE).

apolline traore prix
Puis en novembre 2017, «   le film rafle le Prix du Public au Festival World Cinéma Amsterdam. Au total quarante-six films documentaires, longs et courts métrages sont à l’affiche de cette 8ème édition de ce festival réservé exclusivement aux films d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du sud.

Ce festival décerne deux prix : Un Prix du Public obtenu grâce aux votes des cinéphiles et un Prix du jury. «Frontières» est un long-métrage, qui met en scène quatre femmes traversant l’Afrique de l’ouest du Sénégal au Nigeria en passant par le Mali, le Burkina Faso et le Bénin affrontant toutes sortes de difficultés.  » (D’après Diaspo24.info)

Conquis par le film, le public du ciné Rialto d’Amsterdam que l’on dit froid a applaudi à tout rompre à la fin de la projection de «Frontières».

« C’est un magnifique film. Il montre à la fois le combat quotidien des femmes africaines mais aussi l’espoir que ces femmes portent sur l’avenir du continent », s’est exclamée Maria Klein, une jeune amsterdamoise de 24 ans.

Ce film « Frontières » ne cesse de passer des frontières. Voici qu’il arrive en France : à Paris, à la place Saint Michel, et en Île de France.

affiche frontières
A l’entrée de la salle de « L’Espace Saint Michel », on nous à offert un document de présentation. La réalisatrice présente ainsi le film :

« Adjara, Emma et Sali se rendent à Lagos. Les 3 femmes se rencontrent dans un bus sur le trajet Bamako, Cotonou via Ouagadougou. Le voyage est un parcours de combattants. Elles subissent des pannes de voiture, affrontent des coupeurs de routes et sont témoins de scènes de vols de passagers. Mais leur pire cauchemar reste le franchissement des frontières où elles sont exposées à la corruption, aux violences faites aux femmes et au trafic. Pour s’en sortir elles devront se serrer les coudes et prendre soin les unes des autres. »

« J’ai décidé de faire ce film non seulement pour montrer les combats de la femme africaine mais surtout pour montrer que les choses peuvent changer. »

appoline traore
« Je ne prétends pas changer le monde avec ce film. Mais si ce film engendre des débats, j’aurais atteint mon objectif ».
Apolline Traoré, réalisatrice.

Une bonne illustration de cette citation de Simone Weil :

« Deux forces règnent sur l’univers : lumière et pesanteur. »

Film à voir sans tarder, pour ne pas le manquer ; mais aussi pour qu’il reste longtemps dans les salles françaises.

Paris, le 23 mai 2018
Maurice Oudet
Président du SEDELAN

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Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)