Témoignages

 

Herman Bastijns, Notice biographique (provisoire)

Herman a été très impliqué dans la formation et dans la spiritualité. En conséquence, beaucoup de gens le connaissaient et furent très choqués lorsqu’ils ont appris son décès. C’est pourquoi j’ai pris sur moi de traduire provisoirement la notice qui a été envoyée de Belgique en néerlandais avant qu’elle ne soit traduite officiellement pour le Petit Echo.


Herman est né le 13 janvier 1936 à Hasselt, dans la province du Limbourg, où son père, un soldat professionnel et major de l’armée belge, était employé temporairement. Après cela, la famille est retournée à Bonheiden. Herman a suivi les humanités classiques au Collège Sint-Rombouts de Malines. En septembre 1954, il rejoint les Pères Blancs à Boechout, suivi de son noviciat à Varsenare et de la théologie à Heverlee. Le 2 juillet 1960, il y fit son serment missionnaire et fut ordonné prêtre le 2 février 1961. Selon ses supérieurs de l’époque, Herman a l’esprit clair et profond ; il est curieux, grand travailleur, mais dispersé. Il est doué musicalement, joue du piano, de l’orgue et de la guitare. Il est sensible, délicat, distingué, toujours en toute simplicité. Il a un caractère agréable, est facile à manier, toujours prêt à servir. Il voit toujours le positif dans l’autre. Son état de santé est plutôt faible. On le voit comme un futur professeur et éducateur. Herman a été envoyé à Rome, où il a obtenu, à la Grégorienne, une maîtrise en philosophie et anthropologie. En 1963, il s’installe à Paris pour étudier Emmanuel Mounier. Sous obligation de service militaire, Herman devient l’aumônier de la caserne de Vilvoorde. « Son dévouement à ceux qui lui sont confiés est sans limite », écrit l’aumônier supérieur, Mgr Cammaert. En 1966, il termine sa thèse de doctorat sur Mounier. En septembre 1966, il est nommé responsable de notre philosophat à Louvain. « Un professeur enthousiaste, cent pour cent dédié aux jeunes et bien vu d’eux », écrit le père provincial Plessers.

En juillet 1968, Herman part pour la Haute-Volta. Il commence à Réo, dans le diocèse de Koudougou. Il se met à travailler la langue et la culture. « J’ai utilisé beaucoup de leurs histoires orales sur Dieu et les origines du monde dans le travail pastoral. Ils avaient leur propre Ancien Testament », écrit-il. Il lance le mouvement des scouts ruraux, dont le concept sera repris au niveau national. En 1972, la Province le rappelle pour le premier cycle de Louvain qui, cette année-là, comptait sept candidats. Il est aussi actif dans la paroisse étudiante et l’animation missionnaire. Après un an, cependant, il demande à être autorisé à retourner en Afrique « pour rester missionnaire à temps plein », ce qu’il est autorisé à faire (seuls deux ou trois candidats étaient attendus cette année-là). Après avoir prêché quelques retraites en Algérie, Herman devient curé de Tenado, une paroisse-fille de Reo, au début de 1973. Au nord de la paroisse se trouvent les Gourounsis, convertis depuis longtemps au christianisme. Herman était particulièrement préoccupé par les Nebwa du sud, qui n’avaient jamais été convertis et dont aucun Père ne parlait la langue. Il lança les communautés de base dans sa paroisse. En 77-78, Herman enseigne la philosophie au Grand Séminaire Saint-Jean à Ouagadougou. Le provincial, Jean Longin, écrit : « C’est un confrère transparent, sincère, vivant, agréable, avec qui on sort toujours enrichi d’une rencontre. Il a le don de l’écoute et sait placer le mot qui convient au moment voulu ». En mai 1978, Herman dû se rendre en Belgique pour des raisons de santé. Pendant la session/retraite en 1979 à Jérusalem, il doit être hospitalisé. Son séjour en Belgique fut donc prolongé et il rejoint la communauté de Varsenare. Pendant cette période, il donne des journées de réflexion pour les jeunes, y compris à Zellaar et Hofstade, auxquelles il reçut des réactions très enthousiastes : « Tu nous as tellement rapprochés de ton Dieu » – « Je peux honnêtement dire que tes paroles sur Jésus m’ont touché. » – « Je pense que notre classe portera du fruit pour longtemps encore ».

Le 1er septembre 1981, Herman devient recteur du Grand Séminaire Notre-Dame d’Afrique (notre premier cycle) de la Ruzizi  (Bukavu). « Je peux faire des Pères Blancs noirs » disait-il à un ami en Belgique avec sourire et fierté. Ce qui était important pour lui, c’était l’apostolat que les candidats exerçaient tous les samedis dans les quartiers les plus pauvres de la ville et en prison. En 87-88, il fut autorisé à prendre une année sabbatique. Il suivit une formation spirituelle de trois mois – y compris une retraite de trente jours – au Royaume-Uni, il relut toute la Bible, suivit une session jésuite sur l’accompagnement à Clamart et resta un mois chez les Focolaris à Luppiano. Sa mère décéda en avril 1989. Herman fut alors nommé à Kahangala (Tanzanie) et une année scolaire plus tard au premier cycle de Kossogen (Burkina Faso), où il fit partie du staff. Cependant, sa santé était mauvaise. Le climat était sans doute trop rude pour lui.

Début juillet 1993, il fut nommé à Jérusalem. Dans sa réponse à Rome, Herman écrit :  » Votre proposition de Jérusalem correspond entièrement et à mon désir de renouvellement et à mon intérêt pour l’accompagnement spirituel « . Dans l’équipe, il est responsable de l’animation spirituelle, y compris la retraite de trente jours. Un confrère témoigne : « Herman était l’un des rares confrères avec qui je pouvais vraiment avoir une conversation personnelle profonde. Il rayonnait tellement d’amitié et d’empathie !  Fin 1997, il dut se rendre en Belgique pour des soins (y compris une grave maladie oculaire), et y resta jusqu’à la fin de 1999 ; durant cette dernière année, il pouvait encore accompagner les participants pendant la grande retraite, alors que Marcel Boivin le remplaçait déjà comme responsable de la session.

En septembre 1999, Herman fut nommé à Rome secrétaire adjoint à la Formation Permanente. Avec une Sœur Blanche, il mit en place des sessions pour les personnes de plus de soixante et soixante-dix ans, ainsi que pour la « Transition vers le troisième âge ». Le Tai Chi et l’ennéagramme sont toujours au programme ; concernant ce dernier, il a traduit, de l’anglais, « The Enneagram » de Beesing-Nogosek-O’Leary. Les prières et les célébrations, les introductions et les présentations, les excursions et les visites furent méticuleusement préparées. Conscient et attentif, Herman tente d’entraîner chaque participant dans la recherche de ses aspirations les plus profondes. « Les évaluations faites à la fin des sessions ont toujours montré comment chaque session a été bénéfique pour les participants », écrit le Père Richard Baawobr, qui était encore assistant général à l’époque.

En octobre 2010, Herman arrive en Belgique et s’installe à Bonheiden avec sa sœur Godelieve. Ce qui était prévu comme un séjour temporaire durera plusieurs années, en raison de la maladie de sa sœur, à laquelle s’ajouteront les soins de sa deuxième sœur Marie-Louise. Pendant un certain nombre d’années, il tentera d’assumer la responsabilité de la communauté d’Antwerpen-Keizerstraat, avec un succès variable et plutôt modéré ; les frères parlent de « courtes apparitions ». A Bonheiden, il sert dans la Sainte Chapelle du Saint-Esprit. « Quand il s’asseyait derrière l’autel avec ses yeux brillants et son sourire, il apportait la paix et la tranquillité », écrit un témoin. Il continua à animer des retraites et écrivit ses lettres bien connues à l’occasion de l’Avent et du Carême, qu’il avait déjà commencé à Rome. Sa sœur Godelieve décèda en 2011, mais Marie-Louise etait déjà tombée malade. Herman s’occupe aussi d’elle. Jusqu’à ce qu’il ne puisse plus rien faire. Le 27 juin 2018, il a accepté de se reposer heureusement. Il reste très faible. Il meurt, de façon très inattendue, le 9 août.

La liturgie de résurrection a eu lieu à Varsenare le jeudi 16 août.

Jef Vleugels, M.Afr.

Traduit du néerlandais par : Webmaster avec l’aide de DeepL

J'ai été envoyé en mission pastorale dans le diocèse de Metz en France, Depuis le 1er septembre 2018, je suis nommé par Mgr Jean-Christophe LAGLEIZE, curé-archiprêtre de Château-Salins. Château-Salins est à 45 km de Metz, Centre du diocèse, et seulement à 20 km de Nancy, centre du diocèse voisin. (lire la suite)

Raport d'activités 2017-2018 et photos au sujet de cette association qui travaille pour les enfants de la rue à Ouagadougou depuis 1998.

Lettre de la présidente Madame Linko

Rapport 2017-2018

Quelques grandes photos au format PDF

Diverses photos récentes de l'Association

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Les dernières photos concernent des objets fabriqués par les jeunes pour la vente.

«Revenu des ténèbres», l'Africain Kouamé
couronné au salon du livre de Nancy

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Kouamé, dans une vidéo publiée sur son compte Facebook. Capture d'écran / Facebook


Le prix « Livre et droits de l'homme » de la Ville de Nancy, créé en 2002 par le maire d'alors, André Rossinot, et dont la première présidente était Simone Veil, a été remis ce week-end à Kouamé pour son témoignage, Revenu des ténèbres (XO éditions). Le jeune homme y raconte la fuite de son pays en Afrique, dont il préfère taire le nom par peur de représailles. Suite à l'assassinat de ses parents, il a dû tout quitter à l'âge de 14 ans. Sa vie est alors devenue un enfer.

Avec notre envoyée spéciale à Nancy, Catherine Fruchon-Toussaint

Aujourd’hui, il a 20 ans, il a un travail, il est en sécurité. Mais Kouamé n’a pas oublié les quatre années terribles où, fuyant son pays après l'assassinat de ses parents, il a connu l’horreur, le désert, la faim, le cynisme des passeurs, la violence des camps de réfugiés, les canots bondés, et les morts sur son chemin vers l’Europe.

Il a écrit pour sortir toute cette douleur en lui, mais aussi pour témoigner. Ce prix, « Livre et droits de l'homme », récompense aussi son courage.

« C’est une joie totale, confie Kouamé. Ça prouve que les droits de l’homme existent vraiment ! Parce que mes droits ont été bafouillés en Libye et au Maghreb. Aujourd’hui, j’ai été récompensé pour ça. Ça prouve que les droits de l’homme existent vraiment. Ce prix, je suis trop content de l’avoir, de continuer à défendre mes frères et sœurs et de continuer à expliquer aussi au peuple français que derrière le mot "migrants" existent des êtres humains. »

Idéalement, l'auteur souhaiterait-il que son livre soit lu aussi en Afrique ? « Bien sûr, répond-il, cela peut aider beaucoup de jeunes, aussi. Qu’ils sachent que ce n’est pas facile. C’est la vie ou la mort. Ce que j’ai vécu, je ne le souhaite à personne. »

Un pèlerinage à Dury, France, lieu de naissance de Siméon Lourdel (PE n° 1093 – 2018/07)

Un certain nombre d’exilés ougandais, congolais et rwandais à Londres se sont réunis pour former un groupe de disciples de Siméon Lourdel et d’Amans Delmas. Ils s’appellent eux-mêmes les pèlerins de Mapeera Lourdel et des martyrs d’Ouganda de Dury, Europe. Ils ont commencé à se rencontrer il y a un peu plus d’un an. Aujourd’hui, ils sont une quarantaine de personnes, se rencontrent régulièrement et prient ensemble. Leur but est de faire connaître l’histoire des martyrs de l’Ouganda, de promouvoir la béatification de Siméon Lourdel, de construire la fraternité entre eux, et d’offrir un soutien aux missionnaires retraités en Europe qui ont donné leur vie pour apporter l’évangile à leur peuple en Ouganda et dans d’autres pays africains.

Pour eux, Siméon et Amans sont restés avec les martyrs et les ont encouragés dans leur temps d’épreuve. Ils sont ensuite restés en mission et sont morts en Ouganda. Ils n’ont pas subi le même sort que les 43 martyrs, mais ils ont donné leur vie pour l’évangile et ils devraient partager la même gloire.

                                    
Eglise de Dury (France)

 

Cette année, ils ont organisé un deuxième pèlerinage à Dury, lieu de naissance de leur bien-aimé Siméon Lourdel. En raison des circonstances et de la difficulté d’obtenir des visas pour ceux qui dépendent encore de leur passeport ougandais, quatre des pèlerins prévus n’ont pas pu se joindre au groupe. Nous sommes partis en groupe de 8 dont 7 avec leurs valises à l’étroit dans le Ford Zephyr qui sert habituellement de taxi de nuit à Londres ; un nous a devancés par le service d’autocar de nuit à partir de Victoria. Nous étions M. Ricardo Mulinda avec ses trois enfants, Edward qui conduisait très habilement la voiture, Simon et moi. Ce fut un voyage beaucoup plus facile que celui des premiers missionnaires sur les chemins de l’Ouganda il y a environ 140 ans, mais c’était quand même une expérience à l’étroit avec 7 personnes et leurs bagages dans la même voiture !

Ricardo avait bien organisé le pèlerinage à l’avance, en contactant et en réservant des chambres pour nous à la Maison diocésaine Saint Vaast d’Arras, en arrangeant une rencontre avec Sœur Thérèse Broutin, Coordinatrice de la Commission missionnaire pour le diocèse, avec M. Marc Campbell, maire de Dury et l’abbé Jean-Claude Facon, curé de la paroisse. Quand nous y sommes arrivés, nous avons été accueillis par Sœur Thérèse et son amie avec une « bonne tasse de thé » comme seuls les Français savent le faire ! Après nous avoir laissés le temps de déposer nos bagages dans nos chambres et de nous reposer un peu, Sœur Thérèse nous a guidés à pied jusqu’à la magnifique cathédrale d’Arras. Elle avait très gentiment pris des dispositions pour que deux des guides bénévoles des lieux nous montrent les merveilles de la cathédrale et nous racontent son histoire.

                         
                                                        Les pèlerins aux fonts baptismaux de l’Église de Dury


A notre retour à la Maison Saint Vaast, nous avons été heureux de trouver le P. Bernard Lefebvre qui nous y attendait. Il avait été informé de notre pèlerinage par Richard Nnyombi lui-même en Ouganda. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à quel point les temps sont différents. Quand Siméon Lourdel est arrivé en Ouganda, il lui a fallu des mois pour communiquer avec le cardinal Lavigerie à Alger. Aujourd’hui, notre pèlerinage de Londres à Arras est vécu par Richard Nnyombi assis dans un bureau à Kampala et communiquant avec une troisième personne vivant à Paris !

Le samedi matin, Sœur Thérèse a continué son ministère d’accueil missionnaire en nous guidant à travers les « Grands Places » d’Arras. Après le déjeuner, elle nous a accompagnés dans notre visite à l’évêque d’Arras, Mgr Jean-Paul Jaeger, qui a très gentiment accepté de nous recevoir.

L’évêque était très reconnaissant à Ricardo et à son groupe de pèlerins pour leur visite, pour avoir ouvert ses yeux sur la vie d’un des fils du diocèse d’Arras et sur la contribution qu’il avait apportée à la diffusion de l’évangile en Ouganda. Il était heureux d’entendre parler des efforts de l’Église en Ouganda pour béatifier ce fils d’Arras. Ricardo a pu présenter à l’évêque une lettre de l’archevêque de Kampala dans laquelle il explique comment l’Église en Ouganda trouve important que ce premier missionnaire du pays soit béatifié. Il a exprimé son propre désir de visiter Arras et plus particulièrement le lieu de naissance de Siméon Lourdel. L’évêque Jaeger serait plus qu’heureux de le recevoir. Il espère que ce sera le début d’une nouvelle amitié entre les deux Églises.

Cette visite terminée, nous avons eu le plaisir de rencontrer le maire de Dury qui était venu, avec sa femme et un ami, chercher notre groupe de pèlerins et nous conduire à Dury. Comme j’ai été étonné de rencontrer ce couple, Mr et Mme Campbell, amis enthousiastes de l’Ecosse qui parcourent les routes de campagne de Dury dans une voiture Jaguar !! Ils sont devenus maintenant les amis des Pèlerins de Dury, Londres. L’accueil qu’ils nous ont réservé était complètement fantastique.

Ils nous ont ramenés à Dury et directement au cimetière où de nombreux membres de la famille de Siméon Lourdel, y compris ses parents, sont enterrés. Notre groupe était heureux de prendre un peu de temps et de prier pour cette famille qui a donné leur fils à la mission. Sur la route allant au cimetière du village se trouve un panthéon de la Première Guerre mondiale. Là-bas plus de 300 soldats canadiens sont enterrés. Nous avons passé un peu de temps à visiter leurs tombes avant de nous rendre à la  ferme de la famille Lourdel.

Nous y avons trouvé un groupe de personnes qui attendaient de nous y accueillir, dont deux petites nièces de Siméon Lourdel qui étaient venues nous rencontrer de leur village situé à une trentaine de kilomètres. Il y avait aussi d’autres membres de la famille qui étaient venus ainsi que les propriétaires actuels de la maison et de la ferme. Ce fut une joie d’être accueilli de cette façon et de rencontrer ces bonnes gens qui étaient prêts à accueillir notre visite à la source de notre foi.

Ensuite, nous avons été à l’école dans laquelle Siméon Lourdel a reçu son éducation primaire pendant 6 ans. Les bancs et le décor des salles de classe ont peut-être changé, mais le bâtiment est le même. Il y a des photos intéressantes sur les murs, prises à l’époque où Lourdel y était élève.

                                       À la ferme Lourdel, pèlerins et membres de la famille devant la maison

 

L’Eucharistie dominicale fut célébrée dans l’église du village le samedi soir. Le curé de la paroisse, Jean-Claude Facon, venant directement de son troisième mariage ce jour-là, nous a accueillis à bras ouverts. Bernard Lefebvre a présidé la célébration, a parlé de Siméon Lourdel, de tout ce qui est sorti de son don de lui-même en Ouganda et dans d’autres pays d’Afrique de l’Est.

Beaucoup de gens sont venus à la messe du soir pour accueillir notre groupe de pèlerins. Après la célébration, nous sommes retournés dans la cour de l’école où le maire nous a servi des sandwiches et des boissons. Ce fut une soirée très agréable, avec la rencontre des membres de la famille et des amis du proposé à la béatification du futur «Bienheureux» Lourdel. Ceux-ci, à leur tour, sont heureux de ce que leur ancêtre dans la foi soit toujours présent dans la mémoire et honoré. Eux aussi sont encouragés dans leur foi par le témoignage de ce groupe d’exilés Ougandais venus de Londres pour chercher le lieu de naissance de leur parent, Siméon Lourdel.

Le pèlerinage se répétera sûrement.

Terry Madden, M.Afr.

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Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)